Avant/Après 3/3

Pour ceux qui suivent assidument nos projets potagers, nous avions comme idée de trouver un petit bout de jardin à sécuriser pour y cultiver quelques légumes à l’abri de la convoitise des lapins squatteurs de jardins.

Après une étude approfondie de l’exposition au soleil, de sondage en vue de détecter la présence de racines d’arbres potentiellement gênantes pour nos plantations et de calculs hyper précis pour savoir quelle surface nous pouvions et devions grillager, on a finalement décider de recycler un gros trou bizarre de notre pelouse en jardin potager. Réflexion faite, on pense qu’il s’agit de l’emplacement d’un arbre qui a du être abattu mais la souche et les racines ont été enlevées donc pas de problème pour planter des légumes ça évite de semer du gazon.

Voici le trou de pelouse tout au début de sa sécurisation:

Vous en auriez fait quoi vous de ce trou dans la pelouse?

1ère étape exécutée par Cédric: creuser sur le périmètre pour pouvoir enterrer le grillage. Le lapin n’est pas complètement crétin, si le grillage est haut, il tentera un passage en souterrain.

Heureusement qu’il a plu, la terre est molle. Alban surveille le bon déroulement de l’opération “Dégage du potager le lapin” Petit calin d’encouragement

Alban surveille le bon déroulement de l’opération et encourage Cédric en lui faisant un câlin de soutien.

Une fois la tranchée réalisée, on plante les piquets, on attache le grillage et on referme la tranchée.

C’est pas le planté de bâton, mais le planté de piquet!  Fixation du grillage On recouvre le grillage de terre

Je dis on, c’est une façon de parler, comme les photos le prouvent, c’est Cédric qui se tape tout le boulot pendant que je joue à cours après moi que je t’attrape avec Alban.

Attention au démarrage! Je peux filer un coup de main sur le jardinage si y a besoin… Paf la tulipe!

Une fois Alban couché, j’ai quand même fixé un deuxième tour de grillage. Normalement, c’est du grillage anti-cerf donc qui peut le plus peut le moins mais bon, on essaie d’assurer le coup en mettant une hauteur enterrée et une hauteur en aérien. Mme Farrar nous a aussi révélé son astuce pour protéger ses haricots: elle se sert des moustiquaires sur cadre que l’on met aux fenêtres pour refaire un  deuxième enclos. J’en ai trouvé dans le garage, donc j’ai commencé à les installer mais j’attends que les haricots lèvent pour finir la mise en place du dispositif.

J’ai aussi semé les haricots et repiqué les plants de tomates qu’on a acheté le matin au marché des fermiers. Il nous reste un peu de place pour un plant de courgettes que doit nous donner Mme Farrar et d’autres achats compulsifs éventuels.

Au final, voilà ce que ça donne:

Potager sous haute surveillance

En vrai, on a même acheté des tuteurs pour les tomates mais on a pas pris de photos depuis. On réactualisera une fois les haricots sortis.

A J+4 après plantations, c’est le statu quo. On a repéré des lapins regardant le grillage d’un drôle d’air mais pas d’attaques directes. En même temps, si les lapins (ou écureuils, ou chipmunks ou n’importe quelle saleté de rongeur) s’en prennent aux graines de haricots verts et aux plants de tomates, j’abandonne tout de suite.

Leave a Reply

You must be logged in to post a comment.